Mohand saidi
Mohand Saidi
“Des flèches aux bouts des doigts”
La caricature est une forme, parmi d'autres, de s'exprimer, d'une façon directe. C'est un moyen de simplifier le parler par des traits chargés d'idées, de sens et de significations.
Mohand Saidi est l'une des rares personnes, que l'on trouve présente dans toutes les activités amazighes. Ses caricatures pèsent beaucoup pour notre cause. Elles dégagent des flammes brûlant tous ceux qui ont la tête “gonflée” par l'horizon d'orient camouflé. Transportées dans son carton à dessins, laissant les chambres et les murs de sa maison à Errachidia, baignant dans un magnifique désordre, débordé par les idées artistiques et prenant le bus dans toutes les directions du Maroc pour donner sa voix aux étudiants amazighs, dans la plupart des facultés et associations, à travers ses dessins et ses caricatures.
Avant de prendre un peu de sommeil, pour se reposer dans le désordre de sa chambre, en revenant d'une activité, il prend son carton à dessins, puis le bus pour une autre direction sans hésiter.
Mohand est professeur des arts plastiques à Errachidia. Il est de Midelt où Aicha Bouchou, sa gentille et généreuse maman, l'attend chaque week-end avec impatience. Mais, comme toujours, il ne viendra pas. Il est pris par son vrai engagement. Les idées l'emportent comme un oiseau, pour chanter TAMAZGHA de sa plume.
Avec ses élèves, ses amis, il ne cesse de redécouvrir la beauté du Tifinagh, la force de notre “Amezruy” inscrit à “Tassili” depuis des siècles, et dans tous les coins qui conservent encore ces graphismes immortels.
Les caricature de Mohand Saidi sont d'une grande simplicité au niveau technique, mais chargées du discours “Lumière” qui peut résumer les pages d'une longue conférence. Napoléon Bonaparte n'a-t-il pas dit: «Un croquis vaut mieux qu'un long discours».
Avec son travail, Mohand ne cesse jamais de mettre la cendre dans les yeux des artistes qui ne veulent pas de notre langue TAMAZIGHT.
La force de l'idée dans la caricature de Mohand peut être résumée par: une épée pointue sur le front d'un bougre qui a dévoré la sueur de la vérité da la cause amazighe, et le bougre qui est sur le point de tomber en reculant cédera la place un jour, ou notre soleil apparaîtra pour toujours.
La caricature est une forme, parmi d'autres, de s'exprimer, d'une façon directe. C'est un moyen de simplifier le parler par des traits chargés d'idées, de sens et de significations.
Mohand Saidi est l'une des rares personnes, que l'on trouve présente dans toutes les activités amazighes. Ses caricatures pèsent beaucoup pour notre cause. Elles dégagent des flammes brûlant tous ceux qui ont la tête “gonflée” par l'horizon d'orient camouflé. Transportées dans son carton à dessins, laissant les chambres et les murs de sa maison à Errachidia, baignant dans un magnifique désordre, débordé par les idées artistiques et prenant le bus dans toutes les directions du Maroc pour donner sa voix aux étudiants amazighs, dans la plupart des facultés et associations, à travers ses dessins et ses caricatures.
Avant de prendre un peu de sommeil, pour se reposer dans le désordre de sa chambre, en revenant d'une activité, il prend son carton à dessins, puis le bus pour une autre direction sans hésiter.
Mohand est professeur des arts plastiques à Errachidia. Il est de Midelt où Aicha Bouchou, sa gentille et généreuse maman, l'attend chaque week-end avec impatience. Mais, comme toujours, il ne viendra pas. Il est pris par son vrai engagement. Les idées l'emportent comme un oiseau, pour chanter TAMAZGHA de sa plume.
Avec ses élèves, ses amis, il ne cesse de redécouvrir la beauté du Tifinagh, la force de notre “Amezruy” inscrit à “Tassili” depuis des siècles, et dans tous les coins qui conservent encore ces graphismes immortels.
Les caricature de Mohand Saidi sont d'une grande simplicité au niveau technique, mais chargées du discours “Lumière” qui peut résumer les pages d'une longue conférence. Napoléon Bonaparte n'a-t-il pas dit: «Un croquis vaut mieux qu'un long discours».
Avec son travail, Mohand ne cesse jamais de mettre la cendre dans les yeux des artistes qui ne veulent pas de notre langue TAMAZIGHT.
La force de l'idée dans la caricature de Mohand peut être résumée par: une épée pointue sur le front d'un bougre qui a dévoré la sueur de la vérité da la cause amazighe, et le bougre qui est sur le point de tomber en reculant cédera la place un jour, ou notre soleil apparaîtra pour toujours.
contactez muhand : anazur1@caramail.com
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Warzazate
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